C'est en France, à l'âge de 25 ans, qu'il développe son œuvre de peinture. En 1953, il vient à Paris. Il rencontre le peintre Gustave Singier à l'Académie Ranson.

Témoignages d'une peinture heureuse. Voilà ce que sont les œuvres de Jean Coulot. Peinture heureuse car elle est celle de l'imaginaire du bonheur retrouvé. Tout ce qui autorise à travers les aventures, les avatars et les tribulations naisse la mélodie de l'accord enfin conquis.

Peinture, essentielle : pas d'étalage mais, au contraire, une merveilleuse économie des moyens. L'objectif permanent du peintre est de dire le plus sans jamais tomber dans le discours de celui qui sait faire. Ici, tout est maîtrisé. Au point qu'il n'y a plus de traces visibles de l'effort mais seulement celle de la joie souveraine.
Peinture évidente ! C'est ainsi que dans sa grâce, sa fraîcheur et sa clarté elle apparaît aux regards de ceux qui aiment que la vie puisse aussi être savoureuse…
Daniel Huguenin

"Les formes qu'il peint, ainsi réduites à l'essentiel, sont aussi éloquentes q'une méticuleuse description."
Jean-Pierre Bretegnier